Samedi 4 juillet, nous devons nous retrouver au Col pour pique-niquer. Le ciel bleu est au RV. Dans cet environnement de cimes encore enneigées, c'est parfait !
Dans le groupe, les conjoints sont là dont 3 Jacques. Tous ne sont pas fana de vélo pour apprécier la course cycliste qui se déroule sous nos yeux pendant le pique nique, mais Jacques Fumat lui, se régale de cette opportunité.
Ensuite, nous rejoignons le Jardin Botanique alpin, reconstruit après 1919, quelques centaines de mètres au dessus du Col. Une charmante étudiante en botanique nous guide à travers les différentes thématiques du jardin soigneusement étiquetées : zone pyrénéenne, celle du Caucase, de Grèce, de l'Himalaya... L'altitude donne à la lumière une brillance dont profitent toutes les couleurs du jardin. Les nuages d'orages annoncés restent bien accrochés aux sommets.
Pour nous, qui venons d' "en-bas" là où nos fleurs se sont déjà ternies, quel plaisir de voir cette profusion de fleurs de montagne (plus de 2500 espèces) comme les coussins jaunes vif des trolls et ce pavot de l'Himalaya au bleu si étonnant ! Comme la saison des floraisons est très courte en montagne, leurs couleurs sont d'autant plus éblouissantes qu'elle doivent attirer le plus d'insectes pollinisateurs le plus rapidement possible.
Le jardin profite également de la présence des sources pour mettre l'eau au centre des aménagements de rocailles et rochers rapportés : cascades, torrents, retenues d'eau et petites mares ; autant de miroirs qui multiplient le chatoiement des couleurs et réfléchissent les sommets environnants.
Nos appareils photos "crépitent" pour mettre en boite le rose des Lys Martagon, le jaune orangé des Escholzias, mis en valeur par la verdure des saules de montagne et les pins crochets.
Toute cette nature reconstituée, certes, mais dans le respect des atouts et contraintes bioclimatiques de l'altitude(2100m) du Col est le résultat de plus de100 ans de travail de botanistes (chalet laboratoire) et de jardiniers courageux. Après la visite guidée, chacun a pu reprendre des cheminements à sa guise. Nous avions le temps de craquer sur quelques godets en vente à la sortie : de petits souvenirs pour nos jardins au retour. . .
Chacun a repris sa voiture, avec sa feuille de route, pour rejoindre l'hôtel près de Grenoble où déjà l'idée de l'apéro titillait les plus assoiffés !
Le temps du diner en terrasse a été pour nous, l'occasion agréable de mieux nous connaitre. Les visages ne nous étaient pas tous familiers et ce fut un plaisir de rencontre supplémentaire, qui s'est prolongé le lendemain matin au petit-déjeuner pris au soleil.
D'autres précisions viendront étoffer ce 1er compte-rendu.
Bienvenus à vos commentaires et vos photos.
http://sajf.ujf-grenoble.fr/Dans le groupe, les conjoints sont là dont 3 Jacques. Tous ne sont pas fana de vélo pour apprécier la course cycliste qui se déroule sous nos yeux pendant le pique nique, mais Jacques Fumat lui, se régale de cette opportunité.
Ensuite, nous rejoignons le Jardin Botanique alpin, reconstruit après 1919, quelques centaines de mètres au dessus du Col. Une charmante étudiante en botanique nous guide à travers les différentes thématiques du jardin soigneusement étiquetées : zone pyrénéenne, celle du Caucase, de Grèce, de l'Himalaya... L'altitude donne à la lumière une brillance dont profitent toutes les couleurs du jardin. Les nuages d'orages annoncés restent bien accrochés aux sommets.
Pour nous, qui venons d' "en-bas" là où nos fleurs se sont déjà ternies, quel plaisir de voir cette profusion de fleurs de montagne (plus de 2500 espèces) comme les coussins jaunes vif des trolls et ce pavot de l'Himalaya au bleu si étonnant ! Comme la saison des floraisons est très courte en montagne, leurs couleurs sont d'autant plus éblouissantes qu'elle doivent attirer le plus d'insectes pollinisateurs le plus rapidement possible.
Le jardin profite également de la présence des sources pour mettre l'eau au centre des aménagements de rocailles et rochers rapportés : cascades, torrents, retenues d'eau et petites mares ; autant de miroirs qui multiplient le chatoiement des couleurs et réfléchissent les sommets environnants.
Nos appareils photos "crépitent" pour mettre en boite le rose des Lys Martagon, le jaune orangé des Escholzias, mis en valeur par la verdure des saules de montagne et les pins crochets.
Toute cette nature reconstituée, certes, mais dans le respect des atouts et contraintes bioclimatiques de l'altitude(2100m) du Col est le résultat de plus de100 ans de travail de botanistes (chalet laboratoire) et de jardiniers courageux. Après la visite guidée, chacun a pu reprendre des cheminements à sa guise. Nous avions le temps de craquer sur quelques godets en vente à la sortie : de petits souvenirs pour nos jardins au retour. . .
Chacun a repris sa voiture, avec sa feuille de route, pour rejoindre l'hôtel près de Grenoble où déjà l'idée de l'apéro titillait les plus assoiffés !
Le temps du diner en terrasse a été pour nous, l'occasion agréable de mieux nous connaitre. Les visages ne nous étaient pas tous familiers et ce fut un plaisir de rencontre supplémentaire, qui s'est prolongé le lendemain matin au petit-déjeuner pris au soleil.
D'autres précisions viendront étoffer ce 1er compte-rendu.
Bienvenus à vos commentaires et vos photos.
DL
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